La fête de la Toussaint, célébrée le 1er novembre, est une tradition importante en Guadeloupe ou la religion catholique est très présente.

Cette fête dédiée à la commémoration de tous les Saints est l’occasion de rendre hommage aux défunts.

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Le 1er novembre en Guadeloupe

Au jour J, le rendez-vous familial est donné dans chaque cimetière de l’archipel, sans exception.

Les familles guadeloupéennes se retrouvent comme le veut la coutume autour des tombes et caveaux familiaux.  Ils les fleurissent et déposent leurs bougies.

Nombre de vendeurs ambulants vendent des boissons et sucreries aux abords des cimetières.

La Toussaint en Guadeloupe est un moment joyeux, de partage et commémoration de leurs ancêtres.

Zandolikoko vous recommande de vous y balader en fin de journée, moment auquel vous assisterez à l’illumination du cimetière.

Ambiance envoutante : les tombes, remplies de bougies offrent un spectacle apaisant, propice au recueillement.

A noter qu’Halloween se fête très peu en Guadeloupe.

En plus de la Toussaint, jour férié, le 2 novembre est également considéré comme tel sur l’ile. Il est jour « chômé » : spécialement consacré aux

défunts avec une forte affluence de visiteurs dans les cimetières.

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Les cimetières de Guadeloupe

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Le carnaval de Guadeloupe, un évènement à ne pas manquer !

Vous êtes en Guadeloupe au cours des mois de janvier ou février ? Ne manquez pas son Carnaval, unique en son genre, qui s’y tient à cette période tous les ans et vaut le coup d’oeil ! Un moment vibrant de partage, joie, musique et danses en famille et entre amis.

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Les différents groupes

Au rythme des tambours, cuivres, lambis, chachas, synthés, chants et sifflets défilent :

• « Les groupes à caisses claires », (nos préférés à Zandolikoko !) inspirés du carnaval de Rio avec de magnifiques costumes à plumes et paillettes. Leur fanfare avec majorité d’instruments à cuivres les accompagne sur une joyeuse mélodie.
•  « Les groupes à peaux », véhiculant une énergie plus sombre avec le passage des fouettards et chassant les mauvais esprits avec leur encenseur. Ils utilisent des matériaux naturels pour leur costumes. Leur cadence plus rapide est rythmée par des tambours en peau de cabri, conques de lambi (entant que sifflets) et calebasses transformées en « chacha » (grosse maracasse).
• « Les groupes à Mas » composés d’un très grand nombre de jeunes adolescents arborant masques de singe et costumes en satin. Sifflets en bouche, ils défilent en sautant et gesticulant et interpellent parfois le public avec des messages d’actualité et de revendication.

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Le programme 2024 du carnaval de Guadeloupe 

N’attendez plus, préparez votre chaise de camping et votre meilleur déhanché !

Cette année, c’est du 6 janvier jusqu’au 14 février 2024 que se déroulent ces défilés hauts en couleurs.

Les lundi, mardi et mercredi gras clôturant ces semaines de festivités :

• Traditionnelle « parade nocturne » du Lundi Gras de Basse-Terre et de St François (début aux alentours de 22h lundi 12 février 2024), pour profiter pleinement du défilé nocturne de St François, réservez votre hébergement à Zandolikoko, à seulement 15 minutes du lieu de fête et toujours aussi central pour sillonner la Grande Terre lors de vos vacances.

• Incontournable « Giga parade » dans les rues de Pointe-à-Pitre et Basse-Terre en après-midi et soirée le Mardi Gras (mardi 13 février 2024) : c’est l’apothéose du carnaval !

• Enfin le mercredi des cendres (mercredi 14 février 2024) : moins connu du grand public : « brilé Vaval » un défilé en noir et blanc dans différentes villes à la tombée de la nuit afin de bruler « Vaval », ce personnage (symbolisé en carton) qui marque la fin des festivités, enterre les problèmes de l’année écoulée et marque le début du carême

Venez profiter de cette belle période pour visiter la Guadeloupe !

Pour en apprendre plus sur le carnaval guadeloupéen, une visite culturelle est de mise à Pointe-à-Pitre, au musée St John Perse

Du 5 janvier au 15 février 2024  » Mas Espo Val » : plus d’infos ici

Alors conquis ? Le gite Zandolikoko vous attend ! 

Crédit photo @Gangert

Vous connaissez certainement la passion de Zandolikoko pour l’univers du jardin…

Nous nous sommes donc autorisé une petite escapade à l’île de la Désirade afin d’y découvrir son surprenant et encore trop peu connu jardin botanique.

Et oui, le saviez-vous ?

La Désirade, petite île au large de St François – comptez 40 mins de bateau pour vous y rendre avec la comadile – est la moins touristique, mais pas pour autant moins intéressante des îles de l’archipel Guadeloupéen car c’est la seule (mis à part Basse Terre) à posséder son jardin botanique.

Ce sont deux passionnés, Aline et Jörg, qui ont fondé il y a une dizaine d’année ce sanctuaire du « Mélocactus » aussi appelé cactus « tête à l’anglais » typique de l’île de la Désirade, en voie d’extinction et reconnaissable par son petit chapeau rouge.

Le jardin comporte des milliers de cactées en tout genre et de toutes origines.

Vous pourrez en apprendre plus lors de la visite guidée faite par Jörg tous les jours à 10h (comptez 14€50/adulte et 9,50€/enfant).

Celui-ci transmet avec beaucoup de pédagogie et sympathie bon nombre d’anecdotes et faits très intéressants sur ses petits protégés.

Vous slalomerez au cœur de ces espèces avec vue panoramique sur la côte pour finalement arriver à la table d’hôtes « Chez Man ‘Tine » tenue par Aline, qui vous proposera ses talents culinaires à son image : généreux et délicieux.

Vous aurez peut-être la chance de goûter à sa limonade maison au cactus… un délice !

Pensez à réserver car elle ne propose que trois tables.

Un petit tour sur leur site pour leur contact et plus d’infos : Jardin Botanique du Désert

Depuis peu, et ce grâce à l’aide des nombreux bénévoles de passage sur le site durant plusieurs semaines voire mois (via le site Workaway), 3 chalets permettent d’accueillir des touristes à la nuit.

Une immersion totale chez nos cactophiles, proposée bien sûr à un public curieux et avant tout respectueux. L’idéal pour avoir le privilège peut être d’observer des floraisons de cactus lors d’une balade nocturne.

Mais si le temps vous presse lors de vos vacances, ou simplement l’envie de rentrer le soir en Grande Terre après la visite de ce jardin botanique…

A seulement 20 minutes de l’embarcadère de St François, les gîtes Zandolikoko vous accueillent pour des nuits des plus calmes et reposantes, toujours dans un écrin de verdure !

Le mois de juillet est chaque année synonyme de fête dans notre charmante commune de Ste Anne.

Malgré les chaleurs et l’humidité un peu plus intense en cette période, c’est le début des grandes vacances : l’occasion de fêter les examens réussis… mais aussi les retrouvailles familiales pour nos Guadeloupéens vivant dans l’hexagone, venus passer leurs grandes vacances ici et profiter de leur famille.

Un retour aux sources pour certains, mais aussi le moment idéal de visiter notre luxuriante et authentique Guadeloupe pour tout autre touriste curieux et désireux d’éviter la foule des côtes méditerranéennes en été, par exemple.

Le Zandolikoko vous emmène donc à 10 minutes de ses gîtes, au centre-ville de Ste Anne, à côté du port de pêche de Galbas afin de vibrer au son du Gwoka !

Mais qu’est ce que le « Gwoka » ?

Originaire de Guadeloupe, le « Gwoka » réuni à la fois un style musical, une danse et un instrument de musique : le « ka » qui est un tambour creusé d’un tronc d’arbre et recouvert d’une peau de chèvre ou de bœuf.

Le Gwoka est un moment de partage et convivialité sur fond de résistance, de part sa création lors des périodes d’esclavage au 17ème siècle.

L’improvisation est généralement le mot d’ordre pour le ou la danseuse qui est encerclé par son public, l’accompagnant en battant le rythme de ses mains. Mais également pour les chants qui se veulent à sujets sociaux, historiques ou politiques.

Ce rythme entêtant ne pourra que vous envoûter et vous faire vibrer.

© caraïbes-tourisme.fr

Le Festival

Le festival de Gwoka se déroule cette année du 7 au 14 juillet 2023.

En voici le programme détaillé à retrouver ici.

Les festivités ont généralement lieu en soirée, sur la place de l’étincelle à Galbas, Sainte Anne.

© Laurent de Bompuis

Vous avez raté le festival de Gwoka cette année ?

Soyez rassurés, nous avons nos petites adresses pour vous conseiller et vous permettre d’assister à une soirée « Gwoka » au cours de votre séjour aux gîtes Zandolikoko en d’autres périodes de l’année.

Envie de découvrir le folklore local pendant vos vacances en Grande Terre ?

Le Zandolikoko a testé pour vous et approuvé la fête du cabri (d’ailleurs, ne sont-ils pas trop mignons ces cabris ?)

C’est l’évènement majeur se déroulant sur l’île de la Désirade à la période de Pâques. Cette année, elle se déroulera donc du 6 au 9 avril 2023 sur la « plage à Fifi », Beauséjour qui est non loin du débarcadère.

Les animations

Le festival est quant à lui gratuit et regroupe diverses animations : marché artisanal, stand de Gwo-Ka (art musical Guadeloupéen), foire culinaire autour du cabri, divers concours : danse, cabris déguisés, pétanque, pêche, domino, dessin, mais aussi animations musicales et show artistique avec présence de nombreux artistes et concerts samedi et dimanche soir.

Une ambiance familiale et traditionnelle en journée puis festive à la nuit tombée, tel un festival, sur une des plus belles plages de la Désirade.

Un animal mis à l’honneur

Vous l’aurez compris, le cabri est donc la chèvre Guadeloupéenne, particulièrement présente sur l’île de la Désirade et mis à l’honneur un weekend par an.

Une viande très prisée ici, cuisinée lors de jours de fête en famille, en colombo.

Rien de plus facile pour profiter de cet évènement depuis nos bungalows ; Les gîtes Zandolikoko se trouvant à seulement 15 minutes en voiture de l’embarcadère de St François. Pour ceux qui l’auront raté, vous pourrez vous rattraper avec un bon colombo de cabri à déguster toute l’année !

Le Mémorial ACTe

Le Mémorial ACTe, situé sur le quai Darboussier de Pointe à Pitre, fût inauguré en 2015.

Musée dédié à honorer la mémoire des millions de personnes qui ont souffert des atrocités de l’esclavage, il sensibilise le public à l’impact durable de cette sombre période de l’histoire.

Il est aussi appelé « centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite de l’esclavage« .

Il est question de croiser les regards et les disciplines en s’appuyant sur l’histoire, cœur du projet, mais également sur l’ethnologie, l’anthropologie sociale et l’histoire de l’art.

La visite du musée du MACTe

Ouvert du mardi au dimanche, de 9h à 16h30 pour le dernier départ de visite. Comptez 15 euros par adulte

Vous déambulerez avec votre audio-guide à travers des documents d’archives, images, œuvres d’art, objets de la vie quotidienne, témoignages visuels et sonores.

Ainsi l’exposition permanente vous dévoilera l’histoire de la traite et de l’esclavage de manière la plus vivante possible. Oubliez les musées monotones et ennuyeux !

Une partie du MACTe est même dédiée aux tous petits : le « MACTe Timoun » (3-12ans) afin d’encourager le dialogue intergénérationnel et à sensibiliser les jeunes générations aux enjeux de la mémoire historique.

Une architecture symbolique

Le bâtiment du Mémorial ACTe est une œuvre d’art en soi.

Sa structure évoque une barque, symbole du voyage tragique des esclaves à travers l’Atlantique.

Les matériaux utilisés, tels que l’acier et le bois, rappellent l’harmonie avec la nature et l’environnement caribéen.

Cette architecture innovante est à la fois un hommage aux ancêtres et un symbole d’espoir pour l’avenir.

L’expérience du Zandolikoko